Je viens de terminer la suite de "Frères du vent", qui se passe cette fois en Australie.
Le dernier chapitre se passe à Satory, dans le stand de tir.
Un dernier chapitre, c'est très important parce que c'est un dernier regard.
Le dernier contact avec le lecteur, qui lui donnera peut-être l'envie de sourire en se disant: "j'ai passé un bon moment".
Donc je le travaille, je l'oublie, j'y reviens, le peaufine de façon obsessionnelle.
Une phrase me pose problème et, par souci de véracité, j'appelle l'officier communication du GIGN qui a toujours répondu présent lorsque j'ai eu besoin de ses connaissances.
Il me faut des détails sur le pas de tir, mais c'est plus compliqué que prévu.
Qu'à cela ne tienne, le capitaine me propose de venir voir sur place.
Pour une phrase je vais donc avoir le plaisir de retrouver cet univers particulier sur lequel je travaille depuis "Frères du vent" , en compagnie du meilleur guide possible.
Ecrire!
Ecrire est un voyage, une belle aventure...
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